La création d’Adam et Eve (Genèse 2:4–25)

Yomelijah Yomelijah
13 min readOct 27, 2024

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Le récit de Genèse chapitre 2 fait redondance à l’information que l’on trouve en Genèse chapitre 1:

“Et Dieu dit encore : “ Faisons l’homme à notre image, selon notre ressemblance, et qu’ils tiennent dans la soumission les poissons de la mer, et les créatures volantes des cieux, et les animaux domestiques, et toute la terre, et tout animal se mouvant qui se meut sur la terre. ”Et Dieu se mit à créer l’homme à son image, à l’image de Dieu il le créa ; mâle et femelle il les créa. En outre, Dieu les bénit et Dieu leur dit : “ Soyez féconds et devenez nombreux, remplissez la terre et soumettez-la ; tenez dans la soumission les poissons de la mer, et les créatures volantes des cieux, et toute créature vivante qui se meut sur la terre. ” Et Dieu dit encore : “ Voici que je vous ai donné toute végétation portant semence, qui est à la surface de toute la terre, et tout arbre dans lequel il y a du fruit d’arbre portant semence. Que cela vous serve de nourriture. Et à toute bête sauvage de la terre, à toute créature volante des cieux et à tout ce qui se meut sur la terre, qui a en soi vie d’âme, j’ai donné toute végétation verte pour nourriture” Et il en fut ainsi” (Genèse 1:26–30).

Ce passage montre que Dieu a nommé l’homme administrateur de la terre, avec l’aide de sa femme, en la peuplant, mais aussi en administrant le bien-être de l’ensemble du règne animal. Le chapitre 2 contient d’autres informations très importantes, qui complètent celles du chapitre 1:

“Ceci est l’histoire des cieux et de la terre, au temps de leur création, au jour où Jéhovah Dieu fit la terre et le ciel.

5 Or il n’y avait encore sur la terre aucun buisson des champs, et aucune végétation des champs ne germait encore, car Jéhovah Dieu n’avait pas fait pleuvoir sur la terre et il n’y avait pas d’homme pour cultiver le sol. 6 Mais une brume montait de la terre et elle arrosait toute la surface du sol.

7 Et Jéhovah Dieu forma alors l’homme avec de la poussière [tirée] du sol et il souffla dans ses narines le souffle de vie, et l’homme devint une âme vivante. 8 En outre, Jéhovah Dieu planta un jardin en Éden, vers l’est, et il y mit l’homme qu’il avait formé. 9 Ainsi Jéhovah Dieu fit pousser du sol tout arbre désirable à voir et bon à manger, et aussi l’arbre de vie au milieu du jardin, et l’arbre de la connaissance du bon et du mauvais.

10 Or il y avait un fleuve qui sortait d’Éden pour arroser le jardin, et de là il se divisait et il devenait, pour ainsi dire, quatre têtes. 11 Le nom du premier est Pishôn ; c’est celui qui entoure tout le pays de Havila, où il y a de l’or. 12 Et l’or de ce pays est bon. Là se trouvent aussi le bdellium et la pierre d’onyx. 13 Le nom du deuxième fleuve est Guihôn ; c’est celui qui entoure tout le pays de Koush. 14 Le nom du troisième fleuve est Hiddéqel ; c’est celui qui va vers l’est de l’Assyrie. Le quatrième fleuve est l’Euphrate.

15 Et Jéhovah Dieu prit alors l’homme et l’installa dans le jardin d’Éden pour le cultiver et pour s’en occuper. 16 Et Jéhovah Dieu imposa aussi cet ordre à l’homme : “ De tout arbre du jardin tu peux manger à satiété. 17 Mais quant à l’arbre de la connaissance du bon et du mauvais, tu ne dois pas en manger, car le jour où tu en mangeras, tu mourras à coup sûr. ”

18 Et Jéhovah Dieu dit encore : “ Il n’est pas bon que l’homme reste seul. Je vais lui faire une aide qui lui corresponde. ” 19 Or Jéhovah Dieu formait du sol toute bête sauvage des champs et toute créature volante des cieux, et il se mit à les amener vers l’homme pour voir comment il appellerait chacune d’elles ; et comme l’homme l’appelait, [c’est-à-dire] chaque âme vivante, c’était là son nom. 20 L’homme appelait donc de leurs noms tous les animaux domestiques, et les créatures volantes des cieux, et toute bête sauvage des champs ; mais pour l’homme il ne se trouva pas d’aide qui lui corresponde. 21 Alors Jéhovah Dieu fit tomber un profond sommeil sur l’homme et, pendant que celui-ci dormait, il prit une de ses côtes et referma la chair à sa place. 22 Puis Jéhovah Dieu bâtit en femme la côte qu’il avait prise de l’homme, et il l’amena vers l’homme.

23 Alors l’homme dit :

“ Celle-ci est enfin l’os de mes os

et la chair de ma chair.

Celle-ci sera appelée Femme,

parce que de l’homme celle-ci a été prise. ”

24 C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère et devra s’attacher à sa femme, et ils devront devenir une seule chair. 25 Or tous deux étaient nus, l’homme et sa femme, et pourtant ils n’en prenaient pas honte” (Genèse 2:4–25).

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Dieu a créé l’homme et la femme

(Genèse 2:7)

“Et Jéhovah Dieu forma alors l’homme avec de la poussière [tirée] du sol et il souffla dans ses narines le souffle de vie, et l’homme devint une âme vivante. (…) Alors Jéhovah Dieu fit tomber un profond sommeil sur l’homme et, pendant que celui-ci dormait, il prit une de ses côtes et referma la chair à sa place. Puis Jéhovah Dieu bâtit en femme la côte qu’il avait prise de l’homme, et il l’amena vers l’homme” (Genèse 2:7,21,22).

Ce passage a une valeur hautement existentielle, à savoir est-ce que ce récit est réel, historique, ou n’est-il pas plutôt une allégorie illustrant une lente évolution menant à l’homo sapiens (l’homme actuel), comme l’enseigne la science ? Pour beaucoup ce passage biblique ci-dessus, n’est qu’un mythe de la création de l’Homme qui ne serait pas à prendre au pied de la lettre. En tant que lecteur de la Bible, qui la considérons comme la Parole de Dieu, ce récit a une valeur historique avérée. C’est justement ce qu’a enseigné le Christ concernant une question sur le divorce, en faisant allusion à la création de l’homme et la femme: “Cependant, dès le commencement de la création ‘ Il les fit mâle et femelle. À cause de cela, l’homme quittera son père et sa mère, et les deux seront une seule chair’” (Marc 10:6–8). Jésus-Christ faisait bien évidemment allusion aux chapitres 1 et 2 de la Genèse: “Et Dieu se mit à créer l’homme à son image, à l’image de Dieu il le créa ; mâle et femelle il les créa. (…) C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère et devra s’attacher à sa femme, et ils devront devenir une seule chair” (Genèse1:27 ; 2:24). Comme nous le constatons, Jésus-Christ considérait le récit de la création de l’homme et de la femme, comme un fait historique.

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Seulement 6000 ans ?

Dans la première partie en lien avec le récit de la création de l’Homme, nous avons vu simplement qu’il y a deux thèses qui s’opposent, l’homme a été créé directement par Dieu, tandis que selon la science (et les évolutionnistes en particulier), il serait le produit d’une lente évolution. A cette thèse et antithèse s’ajoute une autre question polémique, à savoir l’âge de l’existence de l’homme. Cette méditation sur le récit de la création de l’Homme est essentiellement biblique. C’est pour cela que pour les aspects plus scientifiques liés aux différentes techniques de datation, nous invitons les lecteurs intéressés scientifiquement par le sujet, de faire les recherches par eux-mêmes, tandis que le sujet sera seulement effleuré afin de rendre le contenu de l’étude accessible à tous.

En nous basant sur la chronologie biblique, l’homme a un peu plus que 6000 années d’existence sur terre (Luc 2:23–38). Bien évidemment, pour les scientifiques (et les évolutionnistes), une telle affirmation est une véritable aberration. Pour eux, grâce à la méthode de datation, l’homme aurait des centaines de milliers d’années. A titre d’indication, voici quelques âges avancés, que l’on trouve sur Internet: 300000 ans, 600000 ans, 200000 ans, 160000 ans, 900000 ans, certains avancent l’âge de 3 millions d’années… Il ne s’agit que d’une simple recherche Internet, seulement sur la première page où apparaissent ces chiffres exorbitants et complètement aberrant d’un simple point de vue démographique.

Effectivement d’un point de vue démographique et arithmétique, ces chiffres sont complètement aberrants: de la création de l’homme, selon la Bible, soit 4000 avant notre ère à 1800 de notre ère, la population mondiale a atteint le milliard d’humains, en environ 5800 ans. Elle a doublé au cours des cinquante dernières années (4 milliards en 1974). Elle devrait continuer à croître et atteindre près de 10 milliards d’humains en 2050. Ce qui veut dire qu’en à peine 250 ans, la population mondiale passerait du milliard d’humains à 10 milliards en 2050… En se basant sur un raisonnement scientifique simple (la science de la démographie): les âges exorbitants de l’existence de l’homme, reviendrait à dire que les humains auraient pu peupler toutes les planètes du système solaires voir plus (en supposant qu’elles auraient été habitables). Ce qui veut dire que ces chiffres exorbitants présentés sur l’âge de l’homme ne sont pas fiables parce qu’ils sont à la fois, très différents les uns des autres et représentent une impossibilité démographique car la planète Terre a une surface finie et non extensible.

Concernant les datations, il y en a pour les âges astronomiques qui se comptent en dizaines de millions d’années et une méthode en dizaine de milliers d’années (pas plus de 50000 ans). Avant d’aborder très simplement ces deux méthodes générales de datation, il convient de rappeler un point important dans le récit de Genèse chapitre 1. En Genèse il est écrit: “Au commencement Dieu créa les cieux et la terre” (Genèse 1:1). Ce simple verset résume environ 13 milliards d’années si on considère que les cieux font allusion à l’univers, selon la science. Ce qui veut dire que le fait de considérer que la planète Terre ait plusieurs centaines de millions d’années voir beaucoup plus, ne contredit en rien Genèse 1:1. Par contre les récits de l’aménagement de la terre en vue de permettre la vie végétale, animale et humaine, devrait se compter en plusieurs dizaines de milliers d’années (peut-être plus en considérant que les 6 jours n’auraient pas été égaux en durée).

Il y a la datation des roches à l’argon potassium, argon potassium 40 et argon-argon (vous pouvez voir à titre d’exemple sur Wikipédia ou d’autres recherches internet de votre choix). Ces âges se comptent en dizaines ou centaines de millions d’années. La méthode potassium-argon (K-Ar) est une méthode de datation isotopique mise au point en 1948 par Aldrich et Nier. Elle peut couvrir la quasi-totalité des âges géologiques avec une bonne précision. Elle repose sur la mesure de la quantité d’argon (40Ar) et de potassium 40 (40K) présente dans un échantillon de roche provenant de la solidification d’un magma entièrement dégazé. Elle permet de dater les minéraux des roches métamorphiques et des roches volcaniques. Il s’agit de la datation des roches et des couches géologiques. Même si cette méthode pourrait être considérée comme fiable, dans l’article sur Wikipédia (version française), il y a un sous-titre qui résume bien la situation: “Incertitude interne et incertitude totale”… Les paléontologues se servent de cette méthode pour mesurer l’âge des fossiles, comme celui des dinosaures. Et bien évidemment, on obtient des âges exorbitants, par exemple de 120 à 130 millions d’années.

Sur cette base, même le simple néophyte peut avoir le même raisonnement que sur l’âge de l’homme sur terre (ci-dessus). Si les dinosaures avaient vécu depuis aussi longtemps sur terre, ils auraient largement eu le temps de proliférer, au point que, quel que soit l’endroit sur terre on trouverait une profusion d’ossements, quand bien même ils auraient disparu depuis longtemps. Or, que constate-t-on ? Les fossiles de dinosaures sont très éparpillés sur la surface de la terre et peu nombreux au regard du temps astronomique que les scientifiques pensent qu’ils ont vécu… S’ajoute une autre question. Lorsque les dinosaures mourraient, au fil du temps, leur corps biologiques se décomposaient normalement dans la terre. La question est la suivante, quel est le degré d’imprégnation du fossile de dinosaure avec le sol où il a été enseveli ? Quand on date des ossements de dinosaures, date-t-on les ossements seulement, mais aussi le sol où se trouve les ossements ? Ce qui pourrait exagérer de manière aberrante l’âge de l’existence des dinosaures…

La datation avec le carbone 14 permet d’estimer l’âge de vestiges archéologiques, peintures rupestres, sédiments… Son principe: utiliser les propriétés de décroissance radioactive de l’isotope carbone 14, atome présent dans toute matière organique et dans les carbonates. Le carbone 14 est un isotope radioactif du carbone. Sa période radioactive, temps au bout duquel la moitié de ces atomes s’est désintégrée en azote 14, est de 5 730 ans. Se formant dans la haute atmosphère de la Terre, il existe 1 atome de carbone 14 pour 1 000 milliards de carbone 12 (isotope non radioactif). Cette méthode s’applique à des fossiles datant au maximum de 50000 ans. La formation du radio carbone 14 se fait dans la haute atmosphère est par conséquent atteint les plantes et les différents êtres vivants par la pénétration des rayons cosmiques au travers de la basse atmosphère (la troposphère où nous vivons).

Cette méthode, quoique fiable, part du principe que le taux de pénétration en rayons cosmiques sous la basse atmosphère aurait été constant, et toujours le même. Ce postulat considère que l’atmosphère, au fil des âges n’aurait pas subi de grands changements (comme par exemple, passant d’une atmosphère plus opaque à une atmosphère plus claire). C’est exactement ce que le récit de la Genèse décrit, concernant le changement intervenu au niveau de l’atmosphère, avant et après le déluge. En effet, selon Genèse 1:6–8, dans la longue période avant le déluge de l’époque de Noé, il est écrit qu’il y avait un océan céleste en suspension probablement dans la haute atmosphère, peut-être au niveau de la thermosphère.

Cet océan céleste est désigné par les expressions, déluge, écluses des cieux (Genèse 6:17 ; 7:6–10,17 “déluge” ; 7 :11 “écluses des cieux”): “Et quant à moi, voici que j’amène le déluge des eaux sur la terre, pour ravager de dessous les cieux toute chair dans laquelle la force de vie est en action. Tout ce qui est sur la terre expirera” (Genèse 6:17). Ce texte montre que Dieu annonce qu’il va littéralement faire tomber cet océan céleste sur terre. “En l’an six cent de la vie de Noé, au deuxième mois, le dix-septième jour du mois, en ce jour-là se fendirent toutes les sources de l’immense abîme d’eau et les écluses des cieux s’ouvrirent” (Genèse 7:11). Ce texte montre la chute progressive de cet océan céleste, sur terre, pendant quarante jours et nuits de pluie, sur toute la surface de la terre. Le mot hébreu traduit par déluge est “Mabûl” (Strong’s Concordance (H03999)), qui apparaît dans le livre de la Genèse, est traduit par “océan céleste” (océan du ciel) dans la traduction du Roi Jacques (King James Version), en Psaumes 29:10.

Ce rappel est fait pour indiquer que la présence de cette océan céleste dans la haute atmosphère a pu largement diminuer la pénétration du radio carbone 14 dans la couche basse de l’atmosphère (la troposphère). Ce paramètre ignoré par la science, montre que pour ce qui est des datations dans la période antédiluvienne avec le radio carbone 14, les dates sont largement surestimées en proportion à la diminution de la pénétration du radio carbone 14, à cette époque.

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L’idéologie de l’existence de l’homme préhistorique

L’expression “homme préhistorique” désigne, de manière très imprécise, différentes espèces ou populations humaines ayant vécu durant la Préhistoire. Cette période appelée la “préhistoire” est l’ensemble des évènements concernant l’humanité avant l’apparition de l’écriture. Cette période aurait commencé avec l’apparition des premiers hommes, il y a 3 millions d’années, selon les évolutionnistes. Elle s’achève avec l’apparition de l’écriture en Mésopotamie, il y a 5 000 ans (soit — 3 000 avant notre ère). Il est intéressant de noter dans cette définition que l’on trouve sur l’Internet, que la date mentionnée est ici de 3 millions d’années (vous pouvez comparer chiffre aberrant avec les autres ci-dessus, tout aussi aberrants). Cette période inventée par les évolutionnistes, est en complète contradiction avec la Bible. Au lieu de rentrer dans un débat qui serait plus idéologique que scientifique, la question qui se pose concerne notre confiance dans le récit biblique ou dans le récit des évolutionnistes. Par exemple, les représentations des hommes préhistoriques (dans les musées), avec un dos vouté, une boite crânienne très aplatie ressemblant à celle d’un singe, est tout simplement le fruit de l’imagination des artistes qui les ont dessinés. Lorsqu’un corps humain est retrouvé (peut-être avec seulement les ossements), suite à une disparition ou un meurtre (ou d’autres circonstances), les médecins légistes sont dans l’impossibilité de dessiner une représentation exacte du corps, du visage et de sa pilosité (pour les hommes), avant son décès. Que dire par conséquents d’ossements humains morts il y a des milliers d’années ?

En tant que croyants nous assumons notre foi dans la fiabilité du récit historique de la Genèse, comme c’était le cas de Jésus-Christ. Tandis que les évolutionnistes n’assument pas le fait que leur théorie, soit tout simplement une idéologie athée qu’ils désirent draper d’un raisonnement qui n’est scientifique que de nom, et non par les faits établis.

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“L’arbre de la connaissance du bon et du mauvais”

(Genèse 2 :15–18)

Genèse chapitre 2 nous informe que Dieu créa l’homme et l’installa dans un “jardin”, appelé Éden de plusieurs milliers d’hectares, si ce n’est plus. Adam était dans des conditions idéales. Dans ce cadre paradisiaque, il jouissait d’une grande liberté (Jean 8:32). Cependant, Dieu a fixé une limite à cette liberté immense: un arbre : “Et Jéhovah Dieu prit alors l’homme et l’installa dans le jardin d’Éden pour le cultiver et pour s’en occuper. Et Jéhovah Dieu imposa aussi cet ordre à l’homme : “ De tout arbre du jardin tu peux manger à satiété. Mais quant à l’arbre de la connaissance du bon et du mauvais, tu ne dois pas en manger, car le jour où tu en mangeras, tu mourras à coup sûr” (Genèse 2:15–17). “L’arbre de la connaissance du bon et du mauvais” était tout simplement la représentation concrète du concept abstrait du bon et du mauvais. Désormais cet arbre réel, représentait pour Adam, la limite concrète, une “connaissance (concrète) du bon et du mauvais”, fixée par Dieu, entre le “bon”, Lui obéir et ne pas en manger de ses fruits et le “mauvais”, la désobéissance.

Il est évident que ce commandement de Dieu n’avait rien de pesant (comparer avec Matthieu 11:28–30 “Car mon joug est doux et ma charge est légère” et 1 Jean 5 :3 “ses commandements ne sont pas pesants” (ceux de Dieu)). Dit en passant, certains ont dit que le “fruit défendu” représentait les relations charnelles: c’est faux, parce que lorsque Dieu a donné ce commandement, Eve n’existait pas. Dieu n’allait pas interdire une chose qu’Adam ne pouvait pas connaitre (Comparer la chronologie des évènements Genèse 2:15–17 (le commandement de Dieu) avec 2:18–25 (la création d’Ève)).

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“But as these things start to occur, stand up straight and lift up your heads, because your deliverance is getting near” (Luke 21:28) http://yomelyah.com/

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